quand N. ANELKA parle , c ' est du lourd
source FF
"Nicolas Anelka se définit comme «un aventurier». L'attaquant français, à la réputation sulfureuse, est revenu, dans une interview accordée au Parisien Magazine, sur son transfert au Shanghaï Shenhua, qu'il a rejoint il y a tout juste un an. «Je suis venu en Chine en éclaireur, explique-t-il. J'ai ouvert la voie, comme d'habitude !». «Fan des films de kung-fu, de Jackie Chan, de Jet Li, de Bruce Lee», l'ancien joueur de Chelsea assure qu'il souhaitait «découvrir ce continent et cette mentalité», tout en reconnaissant qu'il s'agissait là d'un «choix financier».
«J'ai sacrifié mon adolescence»
Alors que son salaire s'élève à 230 000 euros par semaine, Anelka estime que «chacun a ce qu'il mérite». «Je transpire depuis très longtemps pour gagner cet argent», se défend-il, lui qui a «sacrifié [son] adolescence pour le football». «Attention, j'assume totalement mon choix, s'empresse-t-il d'ajouter. Je savais ce que je voulais et j'ai réalisé mon rêve. Mais je n'ai pas eu la même adolescence que les jeunes de mon âge. Quand eux pouvaient faire ce qu'ils voulaient, moi j'étais à l'entraînement ou en cours. Et quand ils sortaient en boite le week-end, moi j'avais match.»
«Scapin, Pythagore, ça ne me sert à rien»
Souvent critiqué, Anelka, dont l'image a été définitivement ternie par l'affaire Knysna, s'est par ailleurs indigné des clichés visant les footballeurs. «Les anti-footeux pensent que lire des kilomètres de bouquins et posséder une culture générale est synonyme d'intelligence. Mais dès qu'ils traversent la Manche, ils n'arrivent pas à aligner trois mots d'anglais, a-t-il lancé. Moi je parle français, anglais et espagnol. Et j'attaque le chinois. Je peux comprendre et me faire comprendre dans le monde entier, a-t-il souligné, avec un brin d'arrogance. Les Fourberies de Scapin, le théorème de Pythagore ou Cinquante nuances de Grey, ça ne me sert à rien dans la vie ."
pour ce qui est de sortir en boite , certains ne s en privent pas !